Dans un discours dimanche soir, le président sénégalais Macky Sall a demandé que l’UA se dote de textes encore plus rigoureux et durs. Le président en exercice de l’UA estime que l’organisation doit soutenir sans relâche les sanctions prises par la CEDEAO à l’égard du Mali.
« Quatre pays n’ont jamais été dans l’histoire de l’institution de l’UA en 1an. Le défi qui se pose donc à l’institution est celui de renforcer sa capacité à enrayer cette contagion », a affirmé
Moussa Faki Mahamat.
Un blocus ?
Les chefs d’États d’Afrique ne se sont pas mis d’accord sur la question polémique du statut d’observateur accordé à Israël. Pour cela, la question a été conviée à un comité de six chefs d’États Africains pour trouver une solution à cela.
Concernant la guerre en Éthiopie, pays hôte du sommet, elle n’a pas été évoquée pendant le discours de clôture. Néanmoins une décision coûte que coûte d’assurer un cessez-le-feu, a fait l’unanimité durant cette rencontre de l’Union africaine.