Lajournée a été rythmée par des fanfares et prestations traditionnelles, au stade Samuel DOE de Monrovia. Les Libériens s’y sont rendus en nombre pour participer aux festivités. Parmi les dirigeants invités, ADAMA BARROW le président Gambien, Mohamed BAZOUM le président nigérien, Faure GNASSIMGBÉ le président Togolais et les représentants du Nigéria, Gabon et des États-Unis.
Le président Georges WEAH considérant ce moment comme historique a ouvert la cérémonie en ces termes :
„Aujourd’hui nous commémorons les 200 ans du début de notre voyage pour devenir un état souverain et finalement le premier pays Africain à être indépendant ».
Dès leurs arrivés leur arrivée sur la futur future Monrovia en 1822, les relations entre les esclaves libérés et les populations locales seront conflictuels conflictuelles. Ce qui va occasionner deux guerres civiles avec à leurs actifs 250 000 morts.
Aujourd’hui, l’unité nationale est le maitre-mot maître-mot du président WEAH :
» Nous devons nous concentrer sur la promotion de l’unité entre tous les Libériens et encourager chacun à apporter des contributions significatives à la construction de notre nation. Je crois que nos ancêtres libériens regarderont le Liberia aujourd’hui avec fierté et satisfaction, en voyant que leurs rêves se sont réalisés ».
Cependant, la réalité est tout autre, car le Liberia, pays d’environs 5 (cinq) millions d’habitants, demeure l’un des pays le plus pauvre du monde des pays les plus pauvres du monde.