Ledit rapport fait état de ce que le secteur est en pleine essor sur le continent, et qu’il s’agit là, du résultat d’une étude faite auprès de développeurs de logiciels et d’experts locaux dans 16 pays.
Un second rapport révélateur de puissance technologique.
L’Africa Developer Ecosystem Report 2021 est le second rapport d’une série basée sur l’économie Internet en Afrique. Ainsi, la Tunisie, l’Algérie, la Côte d’Ivoire et le Sénégal sont les pays ayant des écosystèmes technologiques émergents pour les développeurs. Le Maroc, le Ghana et le Rwanda quant à eux sont les pays en « phase de culture ».
Ce n’est pas tout.
Ce rapport a également dévoilé que la demande de développeurs africains a atteint un chiffre record en 2021, ce en dépit de l’impact de la pandémie à Coronavirus. Autre chose révélée dans ce rapport, l’utilisation d’Internet par les Petites et Moyennes Entreprises augmente de 22%, la demande de services de développement Web et du travail de développeurs à distance de 38%. Ces chiffres représentant entre autres les Africains évoluant hors du continent africain.
À quelque chose de malheur, le bon. L’avenue de la pandémie sanitaire à Coronavirus, a doublé en quelque sorte, la demande des développeurs web Africains. Mais le vrai combat, réside sur l’autoformation et l’auto emploi de ces pépites en développement web, au sein du continent. Comment y parvenir ? La mise sur pied des formations et des offres d’emploi seront idoines. Comme quoi, le premier pas est certes difficile à franchir, mais c’est étant de l’autre côté de la rive, que l’on salive les retombées.