Des chefs d’Etat du continent ont pris la parole ce mardi 22 septembre à l’ouverture des débats de cette messe mondiale.
Le président en exercice de l’Union africaine, le Congolais Félix Tshisekedi a sollicité le soutien de l’ONU pour la lutte contre le terrorisme sur le continent.
Alors que le Rwandais Paul Kagamé a une nouvelle fois plaidé pour l’inclusion vaccinale.
Pour sa première à la tribune des nations unies, le Zambien Hakainde Hichilema, a souligné la nécessité pour la communauté internationale de promouvoir les valeurs démocratiques dans les pays en développement, non sans demander l’assurance d’une répartition égale des ressources entre les populations, gage à ses yeux, du renforcement de la démocratie.
L’année dernière, aucun dirigeant ne s’est présenté en personne à cause du COVID-19, mais cette année, malgré la pandémie qui fait toujours rage, plus de 100 chefs d’État et de gouvernement et plusieurs dizaines de ministres devraient s’exprimer depuis le podium de l’Assemblée générale pendant la réunion de haut niveau qui se termine le 27 septembre.