Le restaurant KISSIM vient tout juste de lancer ses activités à Douala capitale économique du Cameroun.
La matérialisation de ce projet est le fruit d’un travail acharné nourri du rêve de la réussite avec l’apport de quelques âmes de bonne volonté. De quoi réjouir le promoteur Hervé NOUBISSI « Après plus d’un an de travail, d’engagement, de persévérance et de détermination, merci à tous ceux qui, d’une façon ou d’une autre, ont participé à la réalisation de ce projet, à travers leur soutien moral, physique et financier. (….) Merci pour les critiques et les blocages sans lesquels tout ceci n’aurait été possible. Cela aiguise la détermination et participe à l’éclosion de la créativité ».
Le promoteur de KISSIM n’a pas raté sa cible et surtout sa localité. Car Douala est la capitale économique et le principal centre d’affaires du Cameroun et même de l’Afrique centrale. Peuplée de 3,7 millions d’habitants, elle est l’une des deux plus grandes villes du pays avec la capitale politique Yaoundé. La ville se développe à partir de son port de commerce sur l’estuaire du fleuve Wouri ouvert sur le golfe de Guinée.
Seulement rien n’est acquis à l’avance à Douala et Hervé NOUBISSI en est conscient mieux que quiconque. «Douala est un environnement où tout est déjà acquis. C’est un environnement très concurrentiel mais nous comptons travailler dur pour nous imposer car il n’y a que les durs qui résistent dans de tels environnements », a-t-il laissé entendre.
Aucune œuvre humaine n’est parfaite et ce n’est un secret pour personne pas même pour le promoteur de KISSIM qui reste ouvert à toute proposition. « Toutes les contributions sont la bienvenue, tout comme les encouragements, les critiques. Je m’assurerai de m’inspirer de ce qui marche bien suivant les bonnes pratiques et les meilleurs du domaine de la restauration, car avec autant de volonté et de passion, il est impossible d’échouer ».
Le restaurant KISSIM s’est donné pour objectif d’avoir un impact significatif au-delà du gain financier, qui n’est en réalité qu’un moyen par lequel il est possible non seulement de penser autrement, mais aussi d’adapter le patrimoine local aux standards internationaux.