Le but est de créer un écosystème de numérisation dans le pays.
Une conférence qui a réuni des experts du gouvernement, de la banque, du numérique et de la Banque mondiale, au sujet de l’importance de la confiance et de la coopération entre le secteur public et privé pour assurer une transition numérique harmonieuse. Ce sujet de discussion qui se veut être la principale thématique de ladite conférence.
Le classement du Maroc dans les services numériques mondiaux a été évoqué lors de cette conférence, le pays étant actuellement classé 101e sur 193 pays. C’est sans doute ce qui explique l’engouement des participants à souligner la nécessité d’une communication accessible dans les langues locales pour impliquer les citoyens dans l’adoption des services numériques.
La transparence, la confiance et la création d’un écosystème de numérisation favorable ont donc été identifiés comme des éléments cruciaux pour une mise en œuvre réussie.
Il existe une réelle opportunité pour le Maroc de faire progresser sa transformation numérique dans l’administration publique, avec des plans visant à étendre considérablement la numérisation d’ici 2035.
Sarah Lamrani, Secrétaire Générale du Ministère de la Transition Digitale et de la Réforme de l’Administration, a souligné le plan du gouvernement qui vise à prioriser d’ici l’année à venir, les investissements, la santé et l’éducation en ce qui concerne les outils numériques.
Rappelons que la volonté du gouvernement marocain est de faire de la transformation numérique une priorité indéniable pour un avenir prometteur.
