Ledit conseil qui connait la participation des membres issus des organisations sous le patronage de la Banque africaine de développement, African Risk Capacity et de African Climate Foundation, a été mis sur pied pour une exploitation de la puissance des données et de l’IA.
Une action à point nommé.
En rappel, la 27e Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP27), se déroule depuis le 06 novembre en Égypte au Charm el-Cheikh et ce jusqu’au vendredi 18 novembre.
La société Microsoft participe comme partenaire technologique stratégique et sponsor principal de l’événement. Ainsi, elle en a profité pour rendre public ses initiatives axées sur l’action et sur le climat, devant les dirigeants du monde et les chefs d’entreprises réunis pour trouver des solutions aux questions essentielles à la lutte contre « l’urgence climatique ».
Une feuille de route bien préparée pour l’Afrique.
Microsoft estime que les données climatiques du continent africain ne sont pas suffisamment fiables, car le continent présente encore des carences en scientifiques des données très outillés et capables de transformer les données disponibles en informations pour une prise de décision concrète.
Pour ce faire, la société dévoile un premier développement mondial du AI for Good Lab au Kenya et en Égypte. Ceci permettra aux scientifiques des données de réparer la rupture des données climatiques, mais également de travailler avec des partenaires locaux dans l’optique de se servir de l’IA dans les nouvelles initiatives sur le climat.
Il n’y a pas mieux qu’une bonne nouvelle pour engendrer de la fierté au sein du continent africain. En voilà une initiative qui apportera à coup sûr un plus aux scientifiques africains que ce soit en terme de compétences, de techniques de pointe, d’expériences et de connaissances technologiques.