Ce sommet est l’occasion de réunir une nouvelle fois les leaders, les entreprises, investisseurs, entreprises de technologie financière, startups, opérateurs de téléphonie mobile, développeurs, décideurs politiques, entreprises de finance décentralisée (DeFi) et de crypto, régulateurs, mais aussi toutes les autres parties prenantes de la technologie afin de faire fructifier les affaires en Afrique.
Cet objectif trouve ses arguments dans les chiffres du récent rapport D’Endeavour Nigeria. Ceux-ci démontrent à suffisance que l’écosystème technologique de l’Afrique devrait passer d’environ 115 milliards de dollars à exactement 712 milliards de dollars dès 2050.
Le directeur de l’Africa Tech Summit est clair.
« Après un sommet à guichets fermés en 2022, nous sommes ravis d’accueillir à nouveau plus de 1000 leaders technologiques, investisseurs et acteurs internationaux à Nairobi pendant deux jours. L’Africa Tech Summit de cette année mettra en vedette 150 conférenciers sur deux étapes, des sessions de masterclass, une exposition et de multiples événements de réseautage pour faire avancer les affaires et les investissements », indique Andrew Fassnidge, le directeur de l’Africa Tech Summit.
Les grandes lignes de cette 5ème édition.
L’Africa Tech Summit 2023 qui réunira les acteurs technologiques africains, va s’accentuer sur 03 axes à savoir : l’Africa Money & DeFi Summit ; l’Africa Mobile & App Summit et l’Africa Startup Summit.
Pendant que MasterCard estime le marché africain de la fintech à 40 milliards dès 2025, l’on note une croissance de 20% par an de l’espace fintech du continent. Cette édition sera donc le moyen idéal pour l’Africa Money & DeFi Summit, d’explorer davantage les multiples opportunités de la FinTech, le Web3 et la finance décentralisée en Afrique.
Pour rappel, ce sommet est la principale conférence technologique orientée sur la connexion des entreprises et la stimulation des investissements au sein de l’écosystème technologique du continent africain.
Les préparatifs suivent leur cours, rendez-vous le 15 février 2023 du côté du Kenya, pour redonner une nouvelle bouffé d’oxygène à l’avenir de la technologie africaine.