En effet dans l’agriculture industrielle intensive, les agriculteurs utilisent des pesticides pour éviter que certains insectes mangent les cultures et ainsi affectent les récoltes. Ces pesticides contaminent la terre, l’eau, l’air, tuent les pollinisateurs et nuisent gravement à notre santé.
La population est ainsi exposée à une multitude de pesticides via les produits alimentaires qu’elle consomme au quotidien. Dans les régions agricoles, où les pesticides sont utilisés, ces substances se retrouvent en suspension dans l’air, polluent les sols et les cours d’eau et peuvent être systématiquement absorbées par certaines espèces de plantes non ciblées.
« The real Farms » intervient donc pour permettre aux personnes conscientes de leur santé de mieux se nourrir et ainsi préparer leur système de santé. D’ailleurs pour son PDG, Daniel Odi, l’objectif de l’entreprise est de fournir une valeur réelle et une alimentation biologique saine à ses clients.
Dans la mise sur pied de ce super marché, Daniel Odi a été galvanisé par un récent rapport indique que le coronavirus a entraîné une augmentation de la demande d’aliments biologiques et durables.
Le PDG de « The real Farms » a d’abord comme soucis premier d’offrir une vie meilleure aux nigérians même s’i faut toujours penser à entretenir l’entreprise et surtout se faire de l’argent « je ne peux pas dire que les affaires ont été rentables pour l’instant, mais vous savez que les affaires ont une période d’incubation, ce que nous avions comme plan est de parvenir à une vie saine pour les Nigérians et tout en faisant, nous devrions être en mesure de gagner peu d’argent pour prendre soin de cet endroit et aussi prendre soin de notre investissement ».
Selon le superviseur de « The real Farms », le super marché reçoit environ 150 commandes par jour. Tous les produits sont conçus à base de produits frais produits localement, fruits et légumes smoothies ou encore snack chauds salés. Comme dans tous les secteurs à ce moment précis, les activités ici ont été affectées par La pandémie de la Covid-19 ainsi que les manifestations ENDSARS.
Les ambitions du PDG sont d’aller le plus loin possible avec ce projet. il est prévu d’ouvrir d’autres points de vente à Abuja et dans d’autres villes du Nigeria notamment à Kano, Kaduna et Jos. Une fois terminé avec le secteur local le projet va s’étendre en Afrique avec un premier arrêt au Ghana et au Togo.