Étant doté d’une maîtrise redoutable du domaine, le pays de Frank Walter Steinmeier, devra ainsi importer 40, voire 60% de l’hydrogène dont il a besoin pour lancer ses plans de transformation énergétique en Afrique.
En effet, l’information a été donnée par un officiel du gouvernement allemand avant la réunion entre l’Union africaine et l’Union européenne. Le 6e sommet entre l’Afrique et l’Europe a permis de proposer des solutions concrètes pour le développement du continent africain, et une réconciliation entre ces deux continents.
Cette initiative vient donc s’inscrire dans cette lancée. Renforcer et recadrer le partenariat économique entre ces deux continents, dans un contexte marqué par des tensions autour de la gestion de la pandémie sanitaire de Covid, mais aussi de l’atmosphère de coups d’État dans certains pays africains.
L’Afrique étant comme l’iceberg, c’est-à-dire que derrière ses difficultés et ses problèmes, se cache une pléthore de talents, de ressources et d’initiatives capables d’engendrer un développement. Toutefois, cette nouvelle vient redonner l’espoir à plus d’un et la conviction que le continent africain est loin d’avoir écrit l’histoire, dans le chapitre de la technologie et de la technique de pointe.