En effet, en mi-2021, l’Afrique a représenté moins d’1 % de l’offre mondiale de centres de données de colocation. Cependant, d’après la société de conseil et de recherche Xalam Analytics, d’ici l’an 2023, cette offre devrait s’intensifier d’environ 25 %.
Pour ce qui est des revenus du marché des centres de données en Afrique, ils devraient croître à un taux de croissance annuel composé (TCAC) de 12 %, de 2019 à 2025 afin d’atteindre 3 milliards de livres sterling selon un rapport compilé par Oxford Business Group et l’Association Africaine des Centres de Données (ADCA), à propos de ces centres de données en Afrique.
Il faudrait : « Rendre l’image plus transparente pour les investisseurs internationaux », comme l’a déclaré Paul-François Cattier, directeur général de l’ADCA. Parce qu’il peut être difficile de trouver, des données fiables couvrant le marché des centres de données africains.
Chose curieuse, en dépit des conditions difficiles rencontrées sur le continent, avec la limitation de l’accès aux ressources nécessaires à la construction de centres de données, le rapport a révélé qu’il existe dans la région des entreprises de technologie et de télécommunications bénéficiant d’un soutien financier important, déployant des installations à un rythme rapide.
Ce n’est que le début d’une expansion grandiose en Afrique, dans ce domaine des centres de données. Le continent tout entier n’attends que de voir le résultat productif de ces projections dans les années à venir.