Ledit projet qui vise une « solution numérique pour la ville durable en Afrique de l’Ouest », sera lancé dès septembre 2024.
Jugé pertinent et soutenu par le ministère ivoirien de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme, il table principalement sur l’élaboration des stratégies pour l’amélioration des condition de vie des populations qui font face à des difficultés climatiques : les inondations et sécheresses sans cesse croissantes depuis un moment.
Pour ce faire, les chercheurs suisses développeront une application payante dans le domaine de l’électricité générée par le système solaire, qui sera la résultante d’une analyse de six mois menée à Abidjan sur la gestion des déchets urbains.
La numérisation des services contribue à réduire la pollution de l’aire liée au secteur du transport, tout en évitant le déplacement quotidien d’au moins 17 millions de personnes dans le pays. Une estimation de Ahmed Cissé, vice président de la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI).
Rappelons que l’université polytechnique Mohammed VI formera des ingénieurs marocains à la conception et au développement des villes intelligentes pour lutter contre la croissance démographique. Le reste de l’Afrique emboîtera certainement le pas dans ce processus de ville durable.