En effet, ces résultats obtenus par ces pays africains s’inscrivent dans le registre de la portée et de la qualité des services en ligne, de la capacité humaine existante mais aussi dans celui de l’état des infrastructures de télécommunications.
Une avancée remarquable.
Avec de bons résultats, l’Afrique du Sud est devenue la tête de série régionale dans le développement de l’e-gouvernement. Et parmi les 16 pays du groupe à IDE élevé sur le continent africain, 14 sont à revenus intermédiaires supérieurs ou inférieurs, les Seychelles en font partie.
Un classement prometteur.
Entre autres pays qui ont obtenu des scores supérieurs à la moyenne mondiale et selon la suite du classement de ladite enquête, nous avons le Maroc, l’Égypte, le Ghana, le Cap-Vert, l’Algérie, le Kenya, le Gabon, le Botswana, le Rwanda, la Côte d’Ivoire, la Namibie sans oublier la Zambie.
Pour la première fois de l’histoire, la Côte d’Ivoire, le Rwanda et la Zambie ont réussi l’exploit de rejoindre le groupe élevé de l’indice de développement de l’e-gouvernement (EGDI).
L’Afrique est sur une bonne voie concernant le développement, mais le réel combat demeure celui de la construction des infrastructures adéquates, des moyens d’entretien de celles-ci et enfin d’une sélection axée sur le mérite des hommes qualifiés pour une production des résultats attendus. Cependant ceci devrait partir d’une bonne réflexion et d’une sélection des idées concrètes car, l’Afrique est comme cette main là qui, introduite dans un gant de toilette, ne produira pas grande chose, mais une fois introduite dans un gant médical, pourra bien ajuster ses doigts afin de produire un chef-d’œuvre dont le monde entier en sera fier.