Pour ce faire, la plateforme Twiga dans sa déclaration, dévoile l’existence d’une production des produits horticoles tels que les oignons, les tomates et les pastèques, étendue sur près de 650 hectares. Ladite production est estimée à 150 000 tonnes de produits dits frais par an.
Investir c’est s’impliquer et fournir des efforts.
Cette nouvelle filiale, Twiga Fresh, a couté 10 millions de dollars. Des frais qui seront appuyés par la dette des institutions de financement du développement.
Twiga n’a pas fait que se servir de la technologie pour relier les petits exploitants agricoles aux commerçants informels. Depuis son lancement, la plateforme a aussi donné aux producteurs un accès à de nouveaux marchés et un large réseau de clients, voire optimiser la chaîne d’approvisionnement alimentaire sur ses différents marchés.
Ce n’est pas tout.
Après avoir conquis le Kenya, la plateforme Twiga entreprend de lancer ses opérations en Ouganda et en Tanzanie. Mais, elle en profite pour explorer les nouveaux marchés en Afrique centrale et celle occidentale.
Comme les marges d’un escalier, il est question de gravir la première marge avant de se retrouver au sommet. « A la base de toute réussite, il y a toujours une souffrance… qu’il est difficile d’accompagner quelqu’un qui est assis », cet extrait des Magic System, pour rappeler que tout part d’un effort consentis, et c’est le travail qui paye et non le miracle. Ainsi, il demeure nécessaire qu’une mentalité et un esprit de soutien et d’harmonie règne au sein de toute l’Afrique. Twiga Fresh sera d’une aide inestimable pour les agriculteurs et commerçants africains.