En effet, c’est Space in Africa associé au Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique du pays, mais aussi à la Commission de l’Union Africaine, qui s’occupe de l’organisation de cette 2ème édition. Une conférence acte 2 de haut niveau qui réunira non seulement des leaders de l’industrie, des universités, mais également des agences spatiales et autres parties prenantes essentielles.
Quels autres objectifs pour cette édition ?
Deux objectifs découlent du premier évoqué en amont. Étant donné que cette conférence acte 2, vise à faciliter l’établissement de l’agenda, de propulser les participants vers des solutions innovantes qui permettront de révolutionner l’Afrique en ce qui concerne son développement socio-économique, elle va donc mettre l’accent sur les opportunités, les défis voire les tendances de l’industrie spatiale et satellitaire africaine.
Ensuite, il est question de faire du continent africain une formidable région spatiale. Et pour ce faire, il faudra examiner durant la conférence des propositions pour voir comment tirer profit du secteur privé grâce aux efforts produits par ledit secteur pour une croissance mais également influencer en quelque sorte la création de politiques favorables à l’écosystème NewSpace africain.
De qui seront constitués les participants ?
La Conférence NewSpace Africa acte 2, va connaître la présence et la participation des dirigeants d’agences spatiales nationales, de la Commission de l’Union africaine, des entreprises NewSpace, représentants des ministères nationaux de la science et de la technologie et des communications, décideurs et responsables gouvernementaux, fabricants et opérateurs de satellites, investisseurs en capital-risque et investisseurs providentiels, pôles technologiques africains et pour terminer des délégués des Organisations mondiales d’observation de la Terre et de communication par satellite.
Pour l’heure, les préparatifs se poursuivent dans de bonnes conditions. Le rendez-vous, lui est fixé pour le 23 au 26 avril 2023 à Abidjan, pour une conférence acte 2, toute à fait positive pour le développement africain.