SecondSTAX est une société qui permet aux investisseurs institutionnels un accès au titre de créance et de s’approprier des actions sur des marchés tels que Accra et Nairobi, tout en prévoyant de s’étendre au Nigéria et en Côte d’Ivoire.
Son lot d’outils d’investissements comprend un système de gestion des ordres et l’accès aux données et aux recherches sur les entreprises des bourses partenaires de l’ASEA.
Son objectif principal est de faciliter l’accès des investisseurs institutionnels aux marchés des capitaux fragmentés et de petite taille en Afrique.
Le manque de profondeur des marchés, d’information en temps nécessaire, l’accès à ces marchés limite les options d’investissement sur les marchés boursiers africains. Cependant, unifier les marchés et permettre d’y accéder depuis une seule plateforme sont considérés comme une éventuelle solution.
Le projet de liaison des bourses africaines (AELP) approuvé par la BAD (Banque Africaine de Développement), vise à connecter les bourses de valeur africaine selon le modèle de la grande bourse d’Amérique latine le Mercado integrado latinoamericano.
Par conséquent, la phase initiale de l’AELP a connectée sept bourses représentant 2000 entreprises avec une valeur boursière totale de 1,5 billion de dollars.
L’interface de SecondSTAX vise à faciliter le processus de connaissance du client par les investisseurs institutionnels sur différentes bourses. Elle envisage ajouter le système panafricain de paiement et de règlement à son marché des changes, permettant des transactions dans plusieurs devises.
De ce fait, certains programmes d’investissement grand public tels que les applications comme Bamboo et Chako peuvent utiliser SecondSTAX pour offrir aux investisseurs particuliers un accès aux entreprises cotées en Afrique.
L’unification des marchés boursiers en Afrique améliore leur efficacité et leur liquidité, les rendant attractifs tant pour les investisseurs institutionnels que pour les particuliers.