Contrairement à l’année 2020, où le record était de 70 milliards de dirhams, le pays a pu revoir à la hausse ses transactions. Ainsi, ces finances ont permis non seulement de compenser les pertes liées au secteur du tourisme, mais aussi de faire montre du poids stratégique de ces Marocains dans l’économie du royaume.
À quoi ont servi ces fonds ?
Selon la banque centrale, ces fonds ont contribué à la consolidation des réserves internationales du pays qui ont connu une hausse à 330,4 milliards de dirhams, soient 35,7 milliards de dollars. Cet argent a donc entre autres permis de couvrir près de 07 mois d’importations.
« 10 % des envois de fonds ont été investis dans l’immobilier et les secteurs productifs », a ajouté Mohcine Jazouli, qui s’adressait aux députés.
Ce n’est pas tout.
Le fait que l’envoi de ces fonds est augmenté, la banque centrale a ainsi acheté l’excédent de devises aux banques locales.
Plus précisément, les réserves de change du pays maghrébin ont également connus une hausse remarquable, avec un plafond de change que les nombreux voyageurs pourraient prendre à seulement 100 000 dirhams par an. Mais qui indiquera également les niveaux confortables de réserves de change au Maroc.
Nous constatons ainsi l’apport indéfectible des transactions des nationalistes à l’étranger. L’Afrique étant un continent rempli de talents, de ressources et d’idées, pourra en bénéficier énormément. Imaginez avoir une Afrique où chaque nation arrive à combler les pertes, les vides, les dépenses et même à rehausser son budget annuel ; grâce aux transactions faites par leur ressortissant à l’étranger.