Les briquettes sortant de la machine ont une teneur en humidité de 40 à 50 %. La jeune entrepreneure doit ensuite les faire sécher au soleil pendant près d’un mois pour que celles-ci soient combustibles. Ce processus de fabrication est essentiellement biologique et artisanal.
Les briquettes émettent moins de CO2 que le bois lorsqu’elles sont brûlées et sont moins chères.Yassine a travaillé pendant quatre ans pour donc transformer son idée en un objet fini.
« La capacité de production de la machine est estimée à 1000 tonnes par an. Aujourd’hui, nous ne sommes qu’à 10 % de la capacité de production et cela est dû au manque de surface de séchage, explique Yassine. C’est pourquoi nous sommes sur une ligne de levée de fonds pour atteindre la capacité de 1000 tonnes ».
Yassine prévoit donc d’exporter ses briquettes un jour. Aujourd’hui la green-tech compte plus d’une quarantaine de clients et compte bien augmenter sa capacité de production.