« Cette contribution arrive à point nommé et nous permet d’intensifier l’utilisation de la cartographie des sols dans les régions où elle est le plus nécessaire et nous constatons un déclin de l’utilisation des engrais en raison de la hausse des prix », a déclaré QU Dongyu directeur général de la FAO.
Le financement servira principalement à cartographier de manière ciblée, la teneur en nutriments des sols. Tous cela dans le but de systématiser et d’améliorer les cartes pédologiques dont disposent déjà le Guatemala, le Honduras et d’autres pays d’Amérique centrale et d’Afrique subsaharienne.
C’est la quintessence d’un communiqué qui indique que la FAO prête son appui à la plus grande échelle d’un projet pionnier en Ethiopie où l’agriculture est essentiellement entre les mains de petits exploitants. Donc 40% de l’activité économique créatrice de valeur et plus de 80% de la population employée.
Pour réaliser le projet, l’organisation a fait recours à des technologies de cartographie numérique des nutriments des sols qui ont permis de dégager des informations en temps voulu, en particulier sur la manière d’optimiser l’utilisation des engrais.