A cet effet, la directrice explique que le temps d’agir est arrivé, ceci en s’engageant dans le développement numérique du continent. Pour la CEO, la décision d’accélérer l’agenda numérique du continent africain a pour but de soutenir les innovations audacieuses axées sur les valeurs initiales de l’organisation du groupe. En ce qui concerne les secteurs tels que : l’entrepreneuriat, le développement durable et la gouvernance électronique, entre autres.
Par ailleurs, pendant le déroulement d’une session liminaire, Mme Koné a parlé de la création de Smart Africa, qui a eu lieu en 2013, en tant que témoignage d’un engagement, pour la transformation du continent en un seul marché numérique, tout en en plaçant « les TIC au centre de notre croissance socio-économique ».
C’est ainsi qu’elle pense que cette organisation permettra de déclencher, d’ici 2030, une économie entièrement numérique en Afrique. Ce qui pourrait se réaliser si l’on maintient la coordination institutionnelle, tout en améliorant les stratégies nationales en matière de TIC.
Évoluant de plus en plus, l’alliance Smart Africa s’est développée afin d’ajouter 35 pays africains qui représentent les 1,1 milliard de la population africaine. Smart Africa prétend avoir mis sur pied une infrastructure numérique qui bénéficie et fait escale dans de nombreux domaines, dont le développement des villes et villages intelligents, l’économie numérique aux centres de données cloud.
Toute bonne initiative mérite d’être reconnue. C’est pourquoi, Smart Africa continue son travail tout en espérant de profiter de son action. A l’Afrique, de reconnaître cette avancée bénéfique.